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le blues de la nuit (miles)

+3
Kenneth Jing
Callum Fraser
Miles Delvaux
7 participants
Miles Delvaux
LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Miles Delvaux
personnage
posts : 2
nicknames : eigengrau. (elle)
faceclaims : louis garrel © harleystuff/av ; prettygirlgifhunt/gif
triggers : age gap 15+, romantisation des relations toxiques, injection de drogues, sexe et violence cru.es.
warnings : uc.
age : trente-sept ans.
marital status : célibataire ; oiseau volage aux tendresses de passage, Miles s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion.
occupation : pianiste ; arpente les clubs de jazz miteux des villes dans lesquelles il passe, y traine sa passion et sa mélancolie, coud les écorchures de son cœur au bleu, au blues de la nuit.
le blues de la nuit (miles) Fcc337f324ff1a6b8d78d6d3b303215124ff5319
joueur.se
cw: abandon parental, uc.
Miles Delvaux
❖ music is liquid architecture ; architecture is frozen music ❖



prénom(s) & nom

Miles Oscar Delvaux

Miles comme un honneur à l’autre, clin d’œil à peine subtil pour invoquer les souvenirs d’une soirée d’ivresse où il avait été conçu sur un air de jazz, genre de signe absurde du destin, lorsqu’on sait ce qu’il fera plus tard de ses mains. Les origines francophones ramassées en un patronyme peu assorti, Delvaux, seul vestige du père absent, du père parti. Qu’il garde malgré tout, même s’il aurait pu changer il y a longtemps.

âge, date et lieu de naissance

37 y.o. — 5/05/1986 — Prague, R. Tchèque.

Enfant de l’été, né trente-sept ans plus tôt à Prague, où il ne restera qu’une poignées de mois dont il ne garde aucun souvenir. Au creux de son enfance défilent les paysages et les rues de villes passagères, où sa mère et lui se font habitants éphémères, pour quelques semaines ou quelques années. Rarement plus. Môme trimballé aux quatre coins de l’Europe pour les besoins d’un travail maternel nomade, traductions enchaînées au service des politiciens trop haut placés.

nationalité(s) & origine(s)

origines franco-anglaises et juives, nationalité américaine.

Les origines sont européennes et juives, mais l’éducation se fait partout, ici et ailleurs, avec une seule attache, une seule figure familière : le visage maternel, comme une accroche perpétuelle. Des dialectes qu’il apprend pour un temps et qu’il bafouille ou maîtrise, comme des bribes de passé qu’on ne s’est jamais permis d’oublier tout à fait. Des cartes postales collectionnées sur le coin de l’esprit, les mots singuliers et les accents pointés que l’on garde contre le cœur comme babioles de lieux égarés. Pendant longtemps, pas de terre fixe, ni de port d’attache : brouillage identitaire dont il ne saura un jour plus que faire, et qu’il conjurera en s’essayant à un quotidien bien réglé dans le New Jersey.

état civil

célibataire

Oiseau volage aux tendresses de passage, Miles s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion. Romantisme péremptoire dont il fait son habitude au cours du temps, écorchant à la volée quelques palpitants – et parfois même le sien en passant. Il cueille les lèvres pour l’espace d’une saison, laisse flétrir les amours enchaînées, jusqu’à ce qu’une fleur se refuse finalement à se faner : celle d’une passion italienne insoupçonnée qu’il chérit pour ce qui lui semble être une éternité, y place la folie d’un espoir jusqu’à ce que celle-ci ne connaisse le même sort que ses inclinaisons passées. Un flétrissement progressif qui le peine et qu’il a toujours regretté, impuissant face à la tendre mort de leurs cœurs enlacés.

orientation sexuelle

hétérosexuel.

genre et pronoms

homme cisgenre, il.

activité(s) professionnelles et revenus

pianiste, compositeur de musique pour le cinéma.

La musique comme amante véritable, celle qui avait accroché son palpitant dès les premiers battements. Une fidélité presque morbide à laquelle il se voue et pour laquelle il vit, la musique qui l’avait un jour enchainé sans préavis. Le trombone comme amour de jeunesse, talonné plus tard par le piano auquel il se liera avec ivresse. Miles collectionne les dissonances et les harmonies, exprime avec rudesse la poésie que ses mots taisent ; et il se dit que de tous les dialectes entendus et appris, le langage musical est très certainement celui que l’on parle au paradis. Il arpente les clubs de jazz miteux des villes dans lesquelles il passe, y traine sa passion et sa mélancolie, coud les écorchures de son cœur au bleu, au blues de la nuit. Statut précaire de musicien qui peine à le faire vivre, qu’il complète depuis quelques années en s’essayant parfois à l’enseignement, aux leçons données aux gamins perdus, forcés, parfois aussi passionnés – ainsi qu'à la composition pour les réalisateurs de cinéma qui cherchent à habiller leurs films de nappes pianotées.

traits de caractère

Âme assoiffée de liberté, vagabondant entre badinages légers et mélancolie. La soif de voir et d’apprendre, de rencontrer, un appétit féroce face au monde qu’il arpente avec passion, hyperactif d’un cœur qu’il offre et retire à la déraison. Romantisme noir né du cynisme des solitaires de la première heure, ceux qui s’étaient un jour persuadés que tout passe et se remplace, que les visages changent et s’oublient, s’ornent d’abord de douleur pour finir par en décorer paisiblement les souvenirs. La douceur écorchée dans le regard, le mot tour à tour charmant ou bien rare. L’égoïsme parfois, l’arrogance qui dépasse les contours de la fierté, lorsque celle-ci s’en trouve blessé. Et puis la dévotion face à la beauté, adorateur des poésies quotidiennes, esthète discret et invétéré.

à waldwick depuis

u.c.


faceclaim

Louis Garrel


groupe

the wheel.



the theory of everything

1986Naissance de Miles à Prague. Le paternel est parti depuis des mois déjà, lorsqu’il voit le jour ; sa mère se construit comme son seul repère.  
1991 Sa mère lui offre un petit trombone à coulisse, dont il apprend à jouer – et auquel il se révèle précocement doué.
1996 Il découvre le piano à Vienne, chez un voisin : il se dit que c’est ça, l’instrument auquel il veut se vouer.
1998 Déménage à Amsterdam, et commence les cours de piano.
2003 Nouveau déménagement à Londres, où il finira sa scolarité secondaire.
2006 Etudie au Conservatoire de musique de Berlin ; commence à obtenir des contrats payés, à faire des concerts un peu partout en Europe. 

2018 Rencontre avec Alex, à Paros : le coup de foudre est immédiat, pendant des mois, ils s’aiment entre deux voyages et deux avions.
2020 écrire ici.
date écrire ici.



thanks for the memories

I . Napoli


Miles à six ans. De boucles brunes éparpillées, de paumes ouvertes et de genoux écorchés. L’innocence dans le regard lorsqu’il arpente les rues de Naples en s’échappant à la surveillance de sa nourrice, retrouvant les mômes de son âge avec lesquels il baragouine un italien bancal, appris au gré des jeux d’enfants. Car il paraît que la candeur possède un langage propre qu’il est permis aux gamins de parler, même s’ils sont nés dans des pays trop éloignés.
Il se tient là sur les hauteurs de la ville, surplombe la mer et respire, il aime la couleur que celle-ci prend lorsqu’il la regarde de dessus. Derrière lui traîne encore le pas de Rafaelo qui peine un peu à gravir la pente ardue, la carcasse sûrement trop usée pour les ascensions de ce genre. Il grommelle et tousse, passe des doigts fébriles dans ses épais cheveux gris, puis ajuste ses lunettes sur son nez aquilin. Rafaelo, c’est leur voisin. C’est lui qui tient la boutique de jouets juste au coin, et hier, il a offert à Miles un boomerang en bois gravé – celui qu’il lorgnait dans sa vitrine depuis des semaines. Sauf que le môme savait pas bien comment l’utiliser, alors l’aîné lui a promis qu’il lui montrerait.

— Piano, piano ! Grommelle t-il en ravalant une quinte de toux.

Sur les hauteurs de la ville, Miles s’imagine des airs de conquérant. Il se rêve tour à tour marin, oiseau, explorateur ou roi. Il plisse les yeux pour rendre net l’horizon, essaie de se figurer ce qui se cache là-bas. Dans sa main, le boomerang bien serré dont il ne sait pourtant que faire, qu’il tient malgré tout avec assurance, comme une arme ou un gourdin. Rafaelo se penche vers lui et effectue un signe de main un peu impatient.

— Dammilo, Qu’il ordonne doucement, alors que Miles lui tend le morceau de bois, docilement.

Rafaelo baragouine quelques mots d’anglais, mais préfère parler italien. Miles fait semblant de le comprendre, répète les phrases qu’il prononce comme un perroquet.  Mais la plupart du temps, il saisit l’essence de ses phrases grâce à son ton, au florilège d’expressions dont se froisse son visage doux, plissé de fines ridules. Rafaelo ressemble un peu à un arbre, qu’il se dit, aux troncs majestueux à l’écorce ouvragée qui finissent parfois par ployer. Il aime l’observer lorsqu’il ne le regarde pas, ou fait mine de ne pas le faire pour lui en laisser le loisir. Curiosité enfantine.
L’italien se saisit du boomerang et prend de l’élan, puis le balance dans le vide. Le demi-disque part à toute allure, dessine un vaste arc au dessus de l’eau. Fasciné, Miles en suit le tracé et éclate de rire, il éclate de ce rire d’enfant qui n’a encore rien vu, et qui trouve encore à s’émerveiller du vol d’un oiseau de bois. Puis finalement, le boomerang revient dans la main du marchand qui s’en saisit avec habilité, et Miles applaudit.

— Bravo, bravo !
— Impressionato, eh ?
— Come funziona ? Pourquoi il revient ?

Rafaelo s’accroupît face à lui. Dans son regard bleu, il y a la malice des vieux sages, des conteurs chevronnés qui s’apprêtent à offrir une histoire.

— Quelli che ami te lo rimandano, Chuchote t-il du bout de la voix, comme une confession. Ceux qui te manquent prennent le boomerang et te le redonnent.

Et Miles se demande si quelque part au dessus de la mer, il y a son père.
Que si lui aussi le faisait voler, il serait là pour lui relancer.


II . Rotterdam

Miles à douze ans. Le cheveu trop long et l'air négligé des adolescents. Il a découvert le piano il y a un peu plus d'un an et s'en est fait son ami le plus cher, le seul qui reste près de lui lors des déménagements. Il passe des heures à jouer comme un acharné, use tympans et phalanges jusqu'à les raidir, jusqu'à en oublier l'heure de déjeuner  ; paraitrait même qu'il a l'audace d'être doué. Madame De Haan explique à sa mère que c'est pas tant sa mémoire ou son oreille, mais plutôt que la musique l'habite tant, corps, âmes et pensées, qu'en retour, Miles ne peut s'empêcher de l'habiter à son tour. Sauf qu'il a la sale habitude de jouer trop vite, de manger les notes avec un appétit féroce, comme si elles avaient risqué de disparaître s'il ne les avait pas joué tout de suite. Alors De Haan tape le rythme avec force sur le parquet, scande le nom des notes à voix haute pour en recouvrir le son du piano  ; une bataille à laquelle ils se livrent le temps de quelques mesures jusqu'à ce que Miles ne se décide à céder, à ralentir la cadence et laisser les croches respirer. De toute façon, il sait qu'il ne sert à rien de lutter, ni contre la musique, ni contre la professeur qui la lui enseigne  ; qu'au jeu des arrogances et des obstinations, cette dernière est certainement bien plus chevronnée qu'il ne l'est. La pulsation, qu'elle lui dit, c’est ce qui donne vie à la musique. Sans rythme il n’y a rien. C'est comme un corps et son cœur, tu sais  ? 
Alors peu à peu, Miles apprend à patienter, à écouter. Laisser aux phrases musicales l'espace et la liberté qu'elles demandent, à les chérir comme elles doivent l'être, cesser de les dévorer. Une façon de faire qu'il applique aux conversations, aux mots autour de lui qu'il écoute avec attention, au monde qu'il prend le temps d'observer, de contempler. Et peut-être qu'en apprenant à aimer la lenteur et le silence, Miles apprend pour la première fois à être fasciné, à se trouver conquis par la fugacité des beautés passagères, quotidiennes. Celles qui ne demandent l'instant d'après qu'à se taire ou se faner.

III . Berlin

Miles à vingt et un ans. L'air canaille, l'œil corbeau et le cheveu en pagaille. Il vit ses plus belles années au Conservatoire, enchaine arpèges et chromatismes le jour, puis se terre la nuit tombée dans les petites salles miteuses et enfumées, où s'entassent les musiciens précaires, les oreilles absolues et les poètes ratés. Ils jouent, ils composent en descendant des bouteilles de whisky bon marché, et n'en sortent parfois qu'aux premières heures, encore ivres de liqueur et de musique, ébahis, abrutis. Sa mère l'appelle encore tous les mercredis, et puis s'arrange pour grimper dans un avion, lorsqu'il joue lors d'un concert important  ; lui proteste pour la forme, mais elle dit que ça la rend fière de le voir sur une scène, que ça la rend fière de le voir capter l'attention, l'émotion de toute une salle. Et puis aussi que ça la fait bien rire qu'il soit obligé de porter un costume, lui qui, depuis tout petit, rechignait à sortir autrement que débraillé. Mais Miles, ce qu'il ne dit pas encore, c'est que ce n'est pas le classique, qui le fait vibrer  ; Bach, Chopin et Liszt lui avaient appris beaucoup, avaient entrainé ses doigts. Sauf que c'est le jazz, auquel appartient vraiment son cœur, le jazz qui soufflait chaque jour sur la poussière du quotidien pour le rendre plus beau, plus mélancolique, plus surprenant. Pour l'aimer, il fallait aimer improviser  ; pas seulement du bout des doigts, mais dans sa vie entière, il fallait, chérir les incartades musicales spontanées sur les touches d'un piano de bar, il fallait suivre les inconnus qui prétendaient posséder l'un des premiers enregistrements de Duke Ellington, se perdre dans les appartements délabrés, les clubs de musique étroits et planqués, suivre les conversations décousues jusqu'au bout de la nuit, accepter de ne pas savoir ce dont demain serait fait, il fallait faire de sa vie un ballet exquis et extravagant de spontanéité. Ce qu'il a fait, Miles, à la déraison. Gagnant à peine assez de fric pour acheter les clopes qu'il fumait par paquet, finissant par en délaisser les études rigides au Conservatoire et devenir un oiseau de nuit dédaigneux des aurores. Une créature noctambule et mélancolique, au fil des notes, des cœurs et des corps.

VI . Paros

uc


pseudo / prénom eigengrau. fuseau horaire GMT+1  pré-lien ou personnage inventé pré-lien de  @Effy Banks  2473067710  crédits night_nabi (icon) mot de la fin jean-pierre ?
Callum Fraser
ADMINISTRATRICE ❖ LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Callum Fraser
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posts : 341
nicknames : walden/lili (elle)
faceclaims : Seb Stan (easy game)
multinicks : none.
triggers : aucun habituellement joué, mais parlons-en en cas de doute
warnings : ptsd, blessure morale, armée, guerre, adoption, parentalité/paternité
age : 41 ans.
marital status : marié, père de trois enfants
occupation : Médecin militaire, huit années de service qui les ont bousillés, lui et son mariage; il opère aujourd'hui comme chef de la Walvac et coach de l'équipe de Baseball junior de Waldwick.
le blues de la nuit (miles) Ac4480f8a005977e2e7c253a10ee4e472565629b
joueur.se
ohhhh, ce PL. 1808053530
louis garrel.
et puis ce début de fiche 3492367453
j'avais trop hâte que quelqu'un prenne ce pre-lien parce qu'il est si doux 2134311948

bienvenue parmi nous 3492367453
Kenneth Jing
LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Kenneth Jing
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nicknames : otaku. (she.)
faceclaims : derek luh. (verbena)
triggers : aucun en particulier, mais on peut en discuter au préalable.
warnings : abandon familial, langage grossier.
age : vingt-neuf ans.
marital status : Célibataire, sans attaches, il est le père de Holly, neuf mois, que les services sociaux lui ont présenté il y a tout juste un mois suite au décès de sa mère.
occupation : il bosse au restaurant de son père en tant que serveur, loin d'être l'éclate. Il se rêve rappeur, mais malgré son évident talent, il n'arrive pas à trouver les contacts pour se lancer.
le blues de la nuit (miles) 9a51c9aa23e3629d6abaf86f256b6f5cb55b7538
joueur.se
https://overtroubledwater.forumactif.com/t62-kenny-and-get-you-d
bienvenue sur le forum avec ce joli pl 1346901477 1312147279
hâte d'en lire plus 2854093383
Effy Banks
LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Effy Banks
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nicknames : anne (elle)
faceclaims : Vika Bronova (notaboorp)
triggers : À discuter
warnings : Aucun
age : Trente ans, une symphonie d'années, et l'âme encore avide de dévoiler ses mystères à la mélodie du temps qui danse.
marital status : Célibataire et croyante en l'amour, elle danse au rythme des étoiles, tissant son propre récit enchanté dans l'attente des pages encore à écrire.
occupation : Céramiste, elle infuse chaque éclat d'argile avec l'amour passionné de son art, modelant des histoires muettes dans la glaise, une romance éternelle entre ses mains et la magie de la création.
le blues de la nuit (miles) RI5iO9AK_o
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https://overtroubledwater.forumactif.com/t124-clay-whispers-effy
63469662
Foucault ?
Gosh, cette plume aussi poétique que le personnage  omg
je suis déjà conquise, j'en veux plus, please !  3492367453
Et puis Louis ...  3917839045
hâte, hâte, hâââââte de les jouer  2854093383
Mon discord est à ta merci et mes MP tiens 1455864485
Elyn Carson
ADMINISTRATRICE ❖ LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Elyn Carson
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nicknames : adrastée, elle
faceclaims : jenna coleman (crédits: moi-même )
multinicks : aucun pour le moment
triggers : rp hot explicites
warnings : anxiété, deuil (perte d'un enfant), dépression périnatale, abandon des siens
age : trente-sept ans (née le 05 mars 1986)
marital status : mariée ; Elle a fuit son mari, ses enfants, cette maison où elle n'arrive plus à respirer. (mère de deux enfants)
occupation : propriétaire de la friperie Thrift Vintage Village
le blues de la nuit (miles) D6d04d6b355dd7f52772718b46d2f1af5487d1ec
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Whouo cette fiche 1346901477 1808053530
Bienvenue sur le forum et courage pour le reste.
PS : louis o m g
Nox Wolff
LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Nox Wolff
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nicknames : NN4U. (he/they)
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warnings : à venir.
le blues de la nuit (miles) 5c0c80efb15f1703b15be17594a73dfe
joueur.se
je ne sais pas si j'ai le droit de me poser ici avant même de commencer ma fiche mais
j'ai vu ton pseudo. j'ai vu ton choix d'avatar.
je me suis empressé d'aller lire tes mots dont je suis éperdument fan
et ce personnage tout en spleen.... on plonge dans son monde, son histoire
légèrement déstabilisé d'une si grande pureté ??? partie sur l'enfance ??? je chiale un peu
c'est trop beau. m'en vais en pls là-bas...

bienvenue 2854093383
Nora Fraser
LOST TIME IS NEVER FOUND AGAIN, OR IS IT?
Nora Fraser
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warnings : maternité, adultère, transfuge de classe.
age : trente-neuf ans.
marital status : mariée, mère de trois enfants.
occupation : anciennement chargée de communication pour la ville, projet de café associatif sur les rails.
le blues de la nuit (miles) 6daf0b7621e94fe2af0efc2695b83601c6916409
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Louis Garrel, je suis genre amoureuse de lui ? 2134311948 2134311948 2134311948
Et ce pré-lien est si doux, quel beau choix 1808053530
Bienvenue I love you
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